Les bombardements visent des hôpitaux et des écoles, et constituent des crimes de guerre. La population, prise entre les djihadistes et les armées du régime, est privée d’eau et d’alimentation.
Face aux crimes de guerre et au martyr infligé à la population d’Alep, il faut redire que compte tenu que c’est la population civile qui est la principale victime, cette guerre doit cesser sur le champ pour laisser la place aux négociations et transitions politiques.
L’urgence est de sauver les habitants d’Alep.
Partis de gauche et écologistes, au-delà des analyses différentes qui sont les nôtres quant aux causes d’une telle situation et des réponses à y apporter, nous disons ensemble :
° Halte au massacre ! Halte à la barbarie !
° Arrêt immédiat des bombardements !
° Trêve des combats pour permettre l’acheminement des aides nécessaires à la survie des habitants d’Alep !
EELV, « Ensemble ! », NPA, PCF. Le 4 octobre 2016