Jeudi 10 décembre, de 11h à 19h30, place Stalingrad, Paris :
Appel à rassemblement de soutien aux exproprié-e-s de
Notre-Dame-des-Landes (voir plus bas)
Vendredi 11 décembre, journée de la décroissance
Samedi 12 décembre, 9h30, puis 14h
9h30 : https://www.facebook.com/profile.phpid=521309638050178&ref=ts&fref=ts Inscris-toi vite sur www.amisdelaterre-cop21.org
14h : Toutes et tous convergeront vers un rassemblement déclarant l’état d’urgence climatique, au Champ de Mars devant la Tour Eiffel
https://www.facebook.com/events/1526849980974595/
signataires : Amis de la Terre France, Alternatiba, Action Non Violente COP21, Bizi, Confédération Paysanne, Coordination de l’Action Non-Violente de l’Arche, Mouvement pour une Alternative Non-Violente, Collectif National Pas Sans Nous, Emmaüs Lescar Pau, Unef , nous appelons à un rassemblement massif, pacifique et déterminé déclarant l’état d’urgence climatique ce samedi 12 décembre à 14h à Paris, sur le Champ-de-Mars, devant la Tour Eiffel.
nous constituerons de très larges chaînes humaines, portant les messages d’alerte et de mobilisation que nous adresserons aux peuples du monde. Les murs que nous ferons tomber ensemble deviendront des ponts. Nous aurons le visage découvert, comme signe de notre participation strictement non-violente à ce rassemblement.
A propos du rassemblement de solidarité le jeudi 10 décembre à partir de 11h place Stalingrad (Paris, 19e)
Le jeudi 10 décembre se tiendra une audience en référé-expulsion à 11h30 au Tribunal de Grande Instance de Nantes. Cette assignation concerne 4 exploitations agricoles et 11 familles : paysans, habitants locataires ou propriétaires historiques.
AGO/Vinci, qui agit pour le compte de l’État via le ministère de l’écologie, réclame :
- l’expulsion immédiate, sous peine d’astreinte de 200€‚ par jour et par dossier (4 pour certains) et si besoin avec le concours de la force publique.
- saisie et séquestration des biens, outils de travail et cheptels ;
- sans respect de la trêve hivernale.
Toutes ces personnes sont concernées par l’accord politique dit ‘grève de la faim’ de mai 2012 qui protégeait contre l’expulsion les habitant-e-s vivant sur la zone avant la déclaration d’utilité publique.
Cette assignation tombe alors qu’il n’y a aucune urgence, aucune date n’étant fixée pour le début des travaux, et que, dans le même temps, Vinci signe des baux précaires pour que des parcelles de la ZAD soient mises en culture la saison à venir.
Où est la cohérence ?
demain Vendredi, devant le Conseil d’Etat (au Palais Royal), soutenons les militants écologistes assignés à résidence qui ont déposé des recours.