Le 8 mars, nous serons en grève avec les femmes du monde entier pour refuser tou.te.s ensemble de payer le prix de la crise pandémique avec notre travail, notre salaire, notre corps. En France, comme en Pologne, au Chili comme en Italie et en Espagne, en Argentine comme au Nigeria, nous serons toutes et tous dans la rue pour dénoncer et arrêter une société patriarcale et raciste qui nous exploite, nous soumet et nous tue.
Les confinements ont mis en lumière que les femmes sont indispensables au fonctionnement de la société et invisibilisées en permanence : les femmes, et toujours plus les femmes migrantes, sont majoritaires dans les emplois du soin, de la santé, de l’éducation, du nettoyage, du commerce, elles sont sous-payées, peu ou pas reconnues… malgré les belles promesses, aucune négociation de fond n’a été initiée en ce sens !
Nous serons en grève ce 8 mars, comme toutes les femmes de par le monde, nous serons dans la rue tou.te.s ensemble à manifester et revendiquer, car sans les femmes, le monde s’arrête !