Barcelone, après Ouagadougou : Solidaritat amb el poble català !

Non, nous ne nous résignons pas au silence. . .
Non, nous ne cèderons pas à « l’habitude »!
Nice, Paris, Kaboul, Bagdad, Ankara, Londres, Bruxelles, Ouagadougou et ailleurs. . .
Notre réaction est la même. . .
Après Nice, le 14 juillet 2016, nous écrivions ceci :

Communiqué de presse

Beyrouth, Paris, Orlando, Bruxelles, Istanbul, Syrie, Irak,Ouganda … Nice …
La mort est décidée au nom d’une vengeance obscure, au nom des dieux, des haines, de toutes les phobies.
Chaque mort est un meurtre et mérite l’opprobre.
Comment répondre ?
Comment construire un réel vivre ensemble ?
Certainement pas avec toujours plus de violence sociale et policière (dans les films et dans la réalité) et toujours avec plus d’armes.
Certainement pas en continuant de mettre la biosphère en péril (s’il n’est pas déjà trop tard!).
Allons ! Refusons le désespoir et construisons des chemins permettant la reconnaissance des autres et de nous mêmes, la connaissance des réels besoins de l’humanité.
Certes la route est longue mais pourquoi ne pas tenter dès à présent ces deux pistes
– apprendre dès la petite école à jouer collectivement, à gérer calmement les conflits, à se préoccuper d’autrui
– avoir des formations citoyennes sur le comportement solidaire dans les situations de danger.
Redonnons vie à des mots comme « dignité », « respect », pour tous les êtres vivants.
La résilience de toutes et tous n’est-elle pas l’affaire de chacun-e d’entre nous
Le 18 juillet 2016

Le 17 août 2017

Beyrouth, Paris, Orlando, Bruxelles, Istanbul, Syrie, Irak, Ouganda … Nice …

Beyrouth, Paris, Orlando, Bruxelles, Istanbul, Syrie, Irak, Ouganda … Nice …
La mort est décidée au nom d’une vengeance obscure, au nom des dieux, des haines, de toutes les phobies.

Chaque mort est un meurtre et mérite l’opprobre.

Comment répondre ?
Comment construire un réel vivre ensemble ?
Certainement pas avec toujours plus de violence sociale et policière (dans les films et dans la réalité) et toujours avec plus d’armes.
Certainement pas en continuant de mettre la biosphère en péril (s’il n’est pas déjà trop tard!).

Allons ! refusons le désespoir et construisons des chemins nous permettant la reconnaissance des autres et de nous mêmes, la connaissance des réels besoins de l’humanité.
Certes la route est longue mais pourquoi ne pas tenter dès à présent ces deux pistes
-apprendre  dès la petite école à jouer collectivement, à gérer calmement les conflits, à se préoccuper d’autrui
-avoir des formations citoyennes sur le comportement solidaire dans les situations de danger.

Tentons de redonner vie à des mots comme « dignité », « respect », pour tous les êtres vivants.

La résilience de toutes et tous n’est-elle pas l’affaire de chacun-e d’entre nous?


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